Pendant que les français fabriquaient des bunkers, les allemands fabriquaient des tanks et des avions. Résultat: ils firent comme Gengis khan avec la Grande Muraille de Chine, ils contournèrent l'obstacle en passant par les Ardennes jugées "infranchissables" par l'état major français. Le mot débâcle de 40 n'est pas usurpé.
jeudi, octobre 05, 2006
Sedan, une autre victoire assurée.
La France déclare la guerre à l'Allemagne de Bismarck. Il ne manque pas un bouton de guêtres d'après les généraux. C'est vite une grande désillusion.
Grâce au Chemin de fer, les allemands rassemblent une armée bien plus puissante que l'armée française et c'est la débâcle à Sedan. L'Empereur doit se rendre, la mort dans l'âme, dans une guerre qu'il était sûr de gagner. Avait-il pris la peine de réfléchir avant de se lancer dans ce coup de dés? Rien n'est moins certain.
Grâce au Chemin de fer, les allemands rassemblent une armée bien plus puissante que l'armée française et c'est la débâcle à Sedan. L'Empereur doit se rendre, la mort dans l'âme, dans une guerre qu'il était sûr de gagner. Avait-il pris la peine de réfléchir avant de se lancer dans ce coup de dés? Rien n'est moins certain.
Azincourt , la victoire en chantant.
Le 25 octobre 1415, la «fleur de la chevalerie française» est anéantie à Azincourt, au nord de la Somme, par les archers et les piétons du roi d'Angleterre, Henri V de Lancastre. Le duc de Brabant et le comte de Nevers, frères de Jean, sont tués. Charles d'Orléans devient le prisonnier des Anglais.
Pourtant tous ces chevaliers lourdement armés étaient sûr de la victoire, ils disposaient d'un énorme avantage numérique. Ils se croyaient à l'abri derrière leurs lourdes armures. Ce fut un vrai bain de sang. Les arbalétriers français qui auraient pu rivaliser un peu avec les redoutables archers anglais ne furent pas utilisés. Les nobles étaient certains d'une victoire rapide!
Pourtant tous ces chevaliers lourdement armés étaient sûr de la victoire, ils disposaient d'un énorme avantage numérique. Ils se croyaient à l'abri derrière leurs lourdes armures. Ce fut un vrai bain de sang. Les arbalétriers français qui auraient pu rivaliser un peu avec les redoutables archers anglais ne furent pas utilisés. Les nobles étaient certains d'une victoire rapide!
L'Amiral d'Argenlieu
"Ses entretiens avec Hô Chi Minh, le 24 mars 1946, à bord de l’Emile Bertin, en baie d’Along, en présence de Sainteny et Pignon, ne rapprochent pas les points de vue et sont l’occasion d’un incident violent avec Leclerc. En opposition aux accords du 6 mars 1946, il proclame une République de Cochinchine le 1er juin 1946, alors qu’Hô Chi Minh est parti en France".
Il est le principal responsable de l'enclenchement du processus qui a conduit à la guerre d'Indochine.
Il est le principal responsable de l'enclenchement du processus qui a conduit à la guerre d'Indochine.
Les insignes pour les Juifs.
Une invention de Saint Louis, avec ses rouelles ?
"Pour les hommes, un rond d'étoffe jaune, sur la poitrine et un bonnet spécial pour les femmes. "
Il faut en finir avec les leçons de morale que l'on voudrait donner à la planète entière.
C'est Jésus qui a raison: Commencez donc par enlever la poutre qui est devant votre oeil!
"Pour les hommes, un rond d'étoffe jaune, sur la poitrine et un bonnet spécial pour les femmes. "
Il faut en finir avec les leçons de morale que l'on voudrait donner à la planète entière.
C'est Jésus qui a raison: Commencez donc par enlever la poutre qui est devant votre oeil!
Révocation de l'Edit de Nantes .
Rhénanie 1936: Les grenouilles parlaient, Hitler agissait !
Comme César, Hitler avait vu juste. Il l'avoua lui même, si les français avaient attaqué en 1936, il se serait suicidé car il n'était pas pret pour la guerre. Résultat: 60 000 000 de morts au minima et un suicide 9 ans plus tard. Au lieu de se contenter de belles paroles, les députés français auraient du déclarer immédiatement la guerre et mobiliser. Oui , c'était possible. Ce manque de lucidité et de courage politique n'a rien à envier aux égarements de Chamberlain. Seul le vieux Lion Winston Churchill enrageait et criait à cette époque, mais personne pour l'écouter vraiment.
Aucun canon viet ne pourra nous atteindre.
le plan Navarre prévoyait l'occupation de la cuvette de Dien Bien Phu, sous les ordres du colonel De Castries dans l'espoir d'une victoire définitive sur le Viet-minh. Belle Illusion que d'envisager une victoire dans un siège loin de toute ligne de ravitaillement si ce n'est par airs.
La bataille de Dien Bien Phu commençe le 13 mars 1954 à 17h00. Dès le premier jour, à 22h30, la colline Béatrice tombe. Le lendemain, c'est le tour de Gabrielle, et le 17, d'Anne-Marie. De nombreux avions sont détruits, l'aéroport est difficilement utilisable, l'artillerie ne peut faire taire les canons des viets. Le général Giap a retardé son offensive de deux mois pour bien enterer son artillerie dans des bunkers. Les Français se trouvent dans l'incapacité de détruire les positions retranchées Vietminh. Effondré, le Colonel Piroth, chef de l'artillerie, se suicide....
Ce n'était pas un si mauvais plan, mais les moyens manquaient pour aller au bout de cette stratégie de siège accepté. Les paras de Bigeard, les légionaires, et tous les volontaires furent des combattants admirables.
La bataille de Dien Bien Phu commençe le 13 mars 1954 à 17h00. Dès le premier jour, à 22h30, la colline Béatrice tombe. Le lendemain, c'est le tour de Gabrielle, et le 17, d'Anne-Marie. De nombreux avions sont détruits, l'aéroport est difficilement utilisable, l'artillerie ne peut faire taire les canons des viets. Le général Giap a retardé son offensive de deux mois pour bien enterer son artillerie dans des bunkers. Les Français se trouvent dans l'incapacité de détruire les positions retranchées Vietminh. Effondré, le Colonel Piroth, chef de l'artillerie, se suicide....
Ce n'était pas un si mauvais plan, mais les moyens manquaient pour aller au bout de cette stratégie de siège accepté. Les paras de Bigeard, les légionaires, et tous les volontaires furent des combattants admirables.
Alésia : une victoire certaine
Les invincibles Gaulois étaient déjà bien divisés à l'époque. César savait manoeuvrer aussi bien sur le plan militaire que politique. Un chef Gaulois su réaliser pour peu de temps une unité contre les redoutables légions romaines. Mais en l'absence de véritable commandement unique, écouté et respecté, ce fut le désastre d'Alésia.
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